Depuis 10 ans je cultive le management bienveillant qui pour moi est un accélérateur de la performance !

Pourquoi ? 

Une pratique managériale participative et une organisation non pathogène visant à prévenir et gérer les conflits au travail, à respecter les exigences émotionnelles des employés (reconnaissance, soutien social …), à éliminer les mauvaises ambiances organisationnelles de travail, conditionnent le développement de la résilience de l’entreprise. Une posture appréciative des équipes, l’accroissement du niveau de confiance, une formation aux techniques de coping, le coaching individuel et d’équipe, la bonne conduite du changement, font partie des mécanismes essentiels permettant à l’organisation et à ses membres de faire face à l’adversité et de devenir ainsi plus résiliente: source: http://www.officiel-prevention.com/protections-collectives-organisation-ergonomie/psychologie-du-travail/detail_dossier_CHSCT.php?rub=38&ssrub=163&dossid=528

Dans ce cadre, les leaders, les managers sont des facilitateurs, car ils aident à faire naître des idées et des solutions au sein de leurs équipes.

Dans quel état d’esprit travaillent-ils ? Ce qui leur importe est :

– le sens, la vision qui les guide ;

– la sincérité dans les relations ;

– la proximité avec tous ;

– la valorisation de chacun ;

– leur engagement ;

– la liberté laissée aux autres de s’organiser ;

– la co-responsabilité avec laquelle chacun assume ses actes ;

– la flexibilité avec laquelle les collaborateurs explorent de nouvelles pratiques ;

– le soutien permettant de prévenir les risques psychosociaux ;

– la co-créativité ;

– des équipes complémentaires composées de personnes très différentes ;

– la transversalité horizontale (entre fonctions) et verticale (hiérarchique) ;

– un bon climat de travail ;

– laisser la personne faire ce qu’elle aime (motivation, talent) plutôt que ce qu’elle sait faire (compétence) ;

– l’équilibre entre vie privée et vie professionnelle.

Cet état d’esprit et ces valeurs ont pour effet de responsabiliser les membres des équipes, d’élaborer les décisions collectivement, d’avoir les réunions constructives et de pratiquer un management tournant (un salarié peut être tantôt chef de projet, expert sur un sujet, etc.).

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Partagez-vous ces principes humanistes ?